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    Anicée ALVINA télé 7 jours

     


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  • 1 Fêtes des Guinguettes 2005. Le Plessis Robinson

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    LE PLESSIS ROBINSON
    18 juin 2005
    20h30 / Parc Henri Sellier
    Plateau concert gratuit en plein air

    Evénements soirée:
    - Elections Miss et Mister Robinson 2005
    - Feux d'artifices en clôture de soirée
    le groupe Les Rubbettes
    Julie Pietri et Francois Feldmann
    Groupe L5 (interprétation de 8 titres).

    15.000 personnes

    LES RUBETTES

    Bref Historique

    Extrait du site : http://www.chez.com/bugstar/rubettes.htm

    L'histoire du nom du groupe "L'idée initiale pour les enregistrements faits en arrière en 1974 était de créer une renaissance des années 50 à l'ère du rock'n roll. Il y avait un groupe appelé The diamonds qui ont eu un grand succès avec une chanson appelée 'Little Darlin '. Les membres ont regardé par une longue liste de pierres précieuses et le 'rubis ' leur a semblé prometteur. C'était devenu Rubettes rapidement prolongé, curieusement rubettes est maintenant un mot qui est qui représente une partie de logiciel d'ordinateur !"
    Tout d'abord rassemblé pour enregistrer une composition pour Bickerton et Waddington (producteurs de l'époque), ces musiciens de studio sortent en été 1974 sugar baby love (francisée par Dave) et chantée à l'origine par Paul Da Vinci, désigné au départ comme leader du groupe. C'est un "tube". Sur cet élan ils composent le groupe "The Rubettes" sans Da Vinci qui quitte le groupe. Ils vont ainsi pendant 4 ans resté en-tête des hits parade avec Tonight la même année, Juke box jive, I can do it, Foe Dee o Dee et julia en 1975, Ooh la la et cherie amour en 1977 et little 69 en 1978.

    Les Rubettes vont ensuite écrire leurs propres chansons en majorité par Williams et Richardson (le batteur d'origine).

    Le groupe d'abord composé de 6 musiciens : Alan Williams (chant), John Richardson (batterie), Mick Clarke (basse), Tony Thorpe (guitar), Bill Hurd (clavier) et Pete Arnesen (clavier), va vite être réduit passant de 5 à 4. Il ne restera que Williams, Richardson, Thorpe et Clarcke. On les reconnaîtra facilement grâce à leurs bérets.

    Ils vont composer de nombreuses musiques, s'inspirant quelques fois de la musique country.

    D'autres comme Under One Roof sera controversée par les médias anglais, laissant les Rubettes se faire apprécier sur le continent en particulier en Allemagne et en France.

    A. Williams va lui aussi à son tour voler de ses propres ailes en sortant des albums solo. (Telephone Ring 1981)

    En 1983, les Rubettes se reforment (John Richardson décline l'invitation et est remplacé par Mark Haley) et commencent leur tournée en France (photos) à Bobino en 1989. Ils seront aussi en première partie de la tournée des "Bee Gees".

    1999. De nouveaux changements au sein du groupe, où Bill Hurd (clavier) et Alex Bines (batterie) quittent le groupe et recrute Paul Da Vinci (dates concerts 2004), et sont remplacés par Mark Haley (merci Carine) et John Richardson lui-même.

    Il existe maintenant 2 groupes : l'un se fait appeler The Rubettes feat. Bill Hurd et l'autre The Rubettes feat. alan Williams. Ici, je m'attarderais plus sur ce dernier par choix personnel uniquement. On peut regretter ce "divorce" au sein du groupe d'origine, aux fans de préférer l'un ou l'autre groupe voir les deux !

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  • 2 Fêtes des Guinguettes 2005. Le Plessis Robinson

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    LE PLESSIS ROBINSON
    18 juin 2005
    20h30 / Parc Henri Sellier
    Plateau concert gratuit en plein air

    Evénements soirée:
    - Elections Miss et Mister Robinson 2005
    - Feux d'artifices en clôture de soirée
    le groupe Les Rubbettes
    Julie Pietri et Francois Feldmann
    Groupe L5 (interprétation de 8 titres).

    15.000 personnes

    JULIE PIETRI

    Ma (re)découverte de Julie...

    J'avais vu La Bande à Basile il y a bien au moins un siècle de cela! :) C'est lointain car c'était à une fête de la Brink's pour le noël des gosses je ne sais plus quelle année. Je n'ai pas de souvenir de Julie à cette époque.
    On s'était dit : Les Rubettes (publicité mensongère il n'y avait que le leader Alan Williams), ça doit être sympa, ils ont débuté l'année de mon arrivée au service militaire en 1974. Julie Piétri (waouh elle est super jolie) j'aime bien sa voix. François Feldman, sympa aussi. Les L5 beurk !
    Julie aura été de loin la meilleure de la soirée. Quelle voix, quelle puissance!!!
    Nous l'entendions chanter "Vivre pour le meilleur" bien avant, en répétition en arrivant et sans la voir encore. J'ai dit à Cathy : "t'es sûre que c'est pas elle qui chante?" Du coup on s'est cru être à la bourre!
    Mais non il y a eu les élections inter- "minables" de Miss et Mister Plessis Robinson "Fête des guinguettes" Mes préférées ont été élus: Sophie et Jérémie. J'ai du goût, même si toutes les cités n'en avaient que pour Farida très gracieuse également!
    J'ai trouvé Julie sublime dans son interprétation du "Le Jour se Lève" d'Esther Gallil (mon adolescence ça!)
    Bel hommage à votre papa Xavier pour son anniversaire de la veille.
    Bel exemple de tolérance vers la communauté du Sud de la Méditerranée, via Bruel. Je suis allé deux fois en Tunisie, c'est l'un de mes meilleurs souvenirs, Hammamet, Djerba, Tozeur, Nefta, le désert en 4x4 etc... On ne revient pas intact du désert.
    J'ai bien aimé l'interprétation de "Lettre à France" également.

    Extrait du site : http://www.chantefrance.com/artiste/artiste.phtml?id=91
    Julie Piétri

    La meilleure amie de «Magdalena» est de retour avec une compilation de ses meilleurs titres tout simplement intitulée ! Une nouvelle occasion de retrouver les succès de Julie Piétri, la belle gitane échappée de la bande à Basile, sur les ondes de Chante France !

    Née le 1er mai 1957 sous le soleil d'Algérie. Dès l'âge de 14 ans, elle crée au lycée son premier groupe Transit et s'entraîne sur les plus grands succès internationaux, de Joe Cocker à Véronique Sanson jusqu'au premier 45t en 75 «On s'est laissé faire».
    Dans la foulée, elle intègre la bande à Basile et endosse sur scène le rôle envoûtant de la belle gitane et dans la vraie vie, celui d'orthophoniste !
    Quelques années plus tard, la belle Julie rencontre Jean Schultheis, auteur inoubliable –pour ceux qui ont de la mémoire- du fameux «Confidences pour confidences» et François Feldman. Les deux larrons concoctent pour la bohémienne un premier album, le simplement intitulé Julie. Mélange savant de tendresse et de mélodies plus épicées, Julie nous fait alors découvrir une énergie et une sensualité formidable au travers de titres comme «J'me maquille blues» ou la légendaire «Magdalena» qui lui donne son premier disque d'or. La tornade du succès ayant frappé à sa porte, Julie n'en restera pas là.

    Sa voix ravageuse auréolant les chansons «Let's Fall In Love» ou «Je veux croire» la hisse aux sommets des hits-parades. Mais Julie, jalouse de la version de «I got to Sleep» donnée par Chrissie Hynde, la sulfureuse rockeuse des Pretenders, décide d'adapter à son tour ce classique des Kinks. En 1982, elle chante donc «Et c'est comme si». Nouveau carton ! Vite suivi du duo enchanteur avec Herbert Léonard «Amoureux fous», deux voix parfaites pour un véritable hymne à l'amour.

    Dans la chaleur de l'été 86, c'est une femme inattendue qui apparaît aux yeux du public : arborant son légendaire regard azur, elle revendique haut et fort ses racines orientales, change de look et dévoile son véritable nom. C'est l'entrée sur les devants de la scène de Julie Piétri, ses talents d'auteur se confirment avec «Eve lève toi», un succès foudroyant dont l'impact lui permet de passer en vedette à l'Olympia (avec une certaine Patricia Kaas en première partie !).
    Julie s'essaie à la langue anglaise avec une reprise de «Many Rivers to cross» de Jimmy Cliff rebaptisée «Trop d'années à vivre». L'Hiver 87, Julie le passe au chaud à l'Olympia où elle émeut l'assistance avec un répertoire étoffé d'inédits, une chanson d'Edith Piaf «Je ne regrette rien» et une autre de Daniel Balavoine «La vie ne m'apprend rien». Consécration suivie d'une tournée triomphale à travers la France où elle fait vivre les chansons écrites par le compositeur attitré d'Elsa et de Zazie, Vincent-Marie Bouvot.

    Arrive La légende des Madones, quatrième album, très certainement le plus abouti et le plus ambitieux de Julie, auréolé des titres «Salammbô» et «Feeling en noir». La chanteuse s'accorde quelque répit et donne naissance en 1992 à Manon. Puis avec la collaboration de François Bernheim, elle réalise un cinquième recueil plus intimiste Féminin singulière dédicacé à sa petite fille. Elle donne un romantique «Rendez-vous» avant de chanter le générique de l'histoire de la belle et fière Sorenza sur fond de jasmin, de rose et de lavande.
    «Canto di Sorenza», la chanson accompagnant les 7 épisodes de la série – et pour laquelle Hélène Ségara avait été pressentie- se taille un joli succès !
    En 2000, Julie revisite «Eve Lève toi», version techno millenium, et prépare un nouvel album... Pour patienter, retrouvez les meilleurs chansons sur la compilation Les indispensables de Julie Piétri- versions originales sortie le 16 septembre dernier.

    En 2003, la jolie chanteuse réapparaît avec son album « Lumières », qu'elle produit entièrement. Toujours sensuelle, Julie Piétri reprend une dernière fois « Eve lève-toi » et y ajoute des inédits comme « Lumières ». Elle n'a pas fini de nous étonner !

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  • 3 Fêtes des Guinguettes 2005. Le Plessis Robinson

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    LE PLESSIS ROBINSON
    18 juin 2005
    20h30 / Parc Henri Sellier
    Plateau concert gratuit en plein air

    Evénements soirée:
    - Elections Miss et Mister Robinson 2005
    - Feux d'artifices en clôture de soirée
    le groupe Les Rubbettes
    Julie Pietri et Francois Feldmann
    Groupe L5 (interprétation de 8 titres).

    15.000 personnes

    FRANCOIS FELDMAN

    Extrait du site : http://www.feldmanfrancois.com/biographie.php

    Visage important et marquant du monde musical, François Feldman n'en demeure pas moins un personnage discret. Plusieurs millions de disques vendus et des tubes classés dans les meilleures places de charts n'ont pas ébranlé sa force tranquille. Allure élégante, silhouette élancée, regard pénétrant, malgré la quarantaine annoncée, le sourire reste timide, accentuant le charme tout de douceur et de mystère de cet homme secret. Un caractère réservé difficile à percer, autre qu'au travers de ses compositions.
    Ses débuts artistiques se situent à l'époque de l'adolescence, à l'âge où se façonnent les goûts, il écoute Stevie Wonder, Marvin Gaye, et " idole absolue, le "parrain" de la soul, James Brown, qui influenceront fortement son style musical. A 14 ans lorsqu'il créé son propre groupe, balbutiements et répétitions ont alors pour cadre le sous-sol familial. Très vite l'endroit devient trop exigu pour contenir l'impétuosité de ce talent naissant. Plus qu'un besoin d'espace, c'est une soif intense de mesurer sa créativité qui le pousse à se produire dans des endroits très divers. Quelques clubs acceptent de lui faire confiance et de l'accueillir. Ce sont les premiers pas face au public, la confrontation avec les joies et les exigences de la scène. Rude apprentissage s'il en est, qui loin de le décourager exhorte sa passion. Le jeune homme est déterminé et exigeant. Des nuits entières passées derrière ses claviers à traquer la note juste, à peaufiner la ligne mélodique, porteront leurs fruits quelques années plus tard.

    En 1980, François Feldman enregistre son tout premier titre "You want every night". Inutile de penser trouver ce petit joyau aujourd'hui. Boudé en France à sa sortie, par les médias, et de ce fait méconnu du public qui n'eut la chance ni de l'entendre, ni de l'apprécier, ce titre se classe pourtant à la sixième place du Top 40 de New York.

    Deux ans plus tard, il signe chez Barclay, la légendaire société phonographique française, située à Neuilly. Le voici, contrat en poche, dans LA maison de disques de Brel, Ferré, Lavilliers, Balavoine, et tant d'autres grandes figures. Sous la bannière Barclay, il va enregistrer plusieurs titres, avec "ma petite vidéo" (1982), "Wally boule noire" (1984), "Obsession" (1984) et "Amour de corridor" (1985), il connaît d'honorables petits succès d'estime. Mais la voie qui mène au panthéon du show-business est chaotique. La reconnaissance en tant qu'artiste n'est pas encore au rendez-vous. Parallèlement à ses activités de chanteur, il continue de composer des musiques et d'écrire des arrangements pour d'autres.

    " Il lui faut attendre un nouveau 45 tours au sein d'une nouvelle maison de disques pour croiser la notoriété. "Rien que pour toi" parait en 1986 sur le label Big Bang (Phonogram, rebaptisé depuis Mercury, un label Universal Music).
    Avec plus de 300.000 exemplaires vendus, le titre se hisse dans les cinq premières places des charts français, révélant François au grand public. Ce premier tube met un terme aux années d'incertitude et devient son "titre fétiche".

    Commence alors l'ascension vers les cimes de la gloire, jalonnée de chansons qui deviendront toutes des succès incontournables. Apparaissent successivement sur les ondes "Demain c'est toi" et l'indémodable "Slave". Sur « une musique d'opposition entre le froid et le chaud » (comme il la définit lui-même), le texte, signé Jean Marie Moreau, met en parallèle les douleurs passées de Varsovie et celles des pays tourmentés de l'Amérique du Sud.
    Coup de coeur de la maison de disques, cette évocation autobiographique se propulse au sommet du Top 50. Une étape nouvelle est franchie, dès lors, l'image du chanteur romantique sera indissociable du nom de François Feldman. D'autant que le titre suivant "Je te retrouverai" ajoute un magnifique méandre sur cette carte du tendre (si j'épuise le piano de musiques pour toi! si je n' fais plus couler les ruisseaux de tes yeux! si je n' fais plus de tache sur tes océans bleus), ces quatre titres, tous extraits du premier album "VIVRE VIVRE" (1987), confirment et imposent l'authenticité artistique de François Feldman.

    Le décor est planté: l'âme slave et l'âme soul, les deux pôles essentiels de sa créativité qui vont se perpétuer tout au long de sa discographie.

    Le plus bel exemple en est, sans nul doute, l'album suivant, "UNE PRESENCE" (1989). Le premier single "Joue pas", duo avec Joniece Jamison, jaillit comme une véritable bombe. C'est l'été 1989. "La Lambada" caracole en tête du top 50, et nos duettistes doivent se contenter de la seconde place. Mais quelle explosion! Un succès qui se poursuit à l'automne de cette même année avec "Les valses de Vienne". Cette chanson est née d'un jeu de mots (que deviennent les valses de Vienne? et tout le texte est décliné ainsi, jonglant avec la ressemblance et la consonance des termes entre eux (dans la Rome antique, errent les romantiques). Soutenu par une très belle partition pour violons écrite par Thierry Durbet, le titre se classe n° 1 dès sa sortie, opposant la douceur de son tempo aux grooves funky de "Joue pas".

    Ce deuxième album recèle bien d'autres merveilles, entre autre le tonique « C'est toi qui m'as fait », deuxième du top 50 durant l'été 1990, il connaît un gros succès commercial et fait les nuits chaudes et endiablées des discothèques. Des paroles simples et amusantes sur une musique très dansante. Une façon bien originale de rendre hommage à sa maman! On y trouve également un second duo avec Joniece Jamison "J'ai peur". Sorti en pleine guerre du Golf en 1991, ce morceau est interdit d' antenne pendant quelques temps sur des radios périphériques, parce que jugé irrévocablement trop dur et trop pessimiste; est-ce la musique d' intro évoquant les sirènes? Ou bien les paroles? (Et quand je vois les lâches Condamner les esprits Les poètes se cachent! Dans bien trop de pays). La question reste sans réponse.

    Heureusement la situation internationale se détend et les radios se débloquent. Le titre voit le jour, rencontrant un succès égal aux précédents. N'oublions pas sur cet album, le titre émouvant "Petit Franck", qui n'a rien d'autobiographique ni de personnel (l'enfance de l'artiste fut heureuse et choyée), mais le sujet fait mouche.

    C'est assurément avec ce deuxième album, que François Feldman a gagné ses galons d'artiste compositeur interprète, tant la médiatisation fut forte. Au faîte de sa gloire, il enchaîne avec "MAGIC BOUL' VARD" (1991). Là encore dans cet album, morceaux rapides et syncopés frayent avec suaves mélodies. Tout à la joie de son nouveau rôle de père, il sacrifie au rituel des poètes et dédie des rimes à sa fille "Joy" prenant lui ¬même la plume, exercice auquel il se livre rarement, mais chaque fois avec talent, il mêle humour et tendresse pour lui chanter son amour.

    Retour aux sources oblige, il reprend le titre "Wally boule noire" qu'il modernise; le breakeur cède la place au rappeur, pour s'en sortir son seul espoir n'est plus le break dancing, mais le "Magic boul' vard", et même si le verlan utilisé dans la version 1984 est toujours d'actualité « Fais tomber la naimo »! la petite meuff en revanche ne danse plus le smurf, mais elle paie un saxo neuf!. Autres temps, autres moeurs! Cette reprise conclue l'album et en fait une sorte de fil conducteur que Jean Marie Moreau explique en quelques lignes de présentation au dos du livret original.
    Si les albums suivants ont un succès médiatique moindre, leurs contenus sont pourtant tout aussi forts et travaillés. Travaillés, stylisés et ciselés comme ses concerts. Bercy, l'Olympia et d'autres salles lui ont ouvert leurs portes. Un triomphe chaque fois renouvelé et une adhésion totale du public. Car si l'homme est réservé, une fois lâché sur scène, il se déchaîne! C'est là qu'il s'exprime le plus facilement. "sait être à la fois explosif, drôle et émouvant. Avec ses musiciens et ses choristes, c'est une connivence de chaque instant. Le courant passe et la salle est secouée par l'onde de choc de sa sincérité.

    Chaque album porte la même dualité. Gravité de chansons tourmentées jouxtant la légèreté de titres aux couleurs funky, la musique de François Feldman est généreuse, inventive et dynamique, il a su la distiller avec passion sur les textes de Jean Marie, l'éternel complice. Depuis près de vingt ans, ils forment un tandem qui fonctionne à merveille. Leur longue et fidèle collaboration a dessiné le canevas d'un univers musical particulier. Une curieuse mosaïque de romantisme et de fièvre. Le romantisme, héritage des origines slaves de François, son "moi" profond; la fièvre, influence de la musique soul américaine.
    Lors d'une récente intervention télévisée, François Feldman confirmait qu'il n'avait pas livré d'album depuis "COULEURS D'ORIGINE" (1997) et en annonçait un nouveau pour 2004. Il nous faudra donc encore un peu de patience pour découvrir les merveilles qu'il nous concocte. Gageons pour notre plus grand plaisir, qu'elles soient de la même veine que toutes les chansons qui ont dévasté les hit-parades au cours de ces dernières années, et qu'une fois encore,notes graves et émouvantes,cotoient notes légères.

    Andrée Lebrun

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  • 4 Fêtes des Guinguettes 2005. Le Plessis Robinson

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    LE PLESSIS ROBINSON
    18 juin 2005
    20h30 / Parc Henri Sellier
    Plateau concert gratuit en plein air

    Evénements soirée:
    - Elections Miss et Mister Robinson 2005
    - Feux d'artifices en clôture de soirée
    le groupe Les Rubbettes
    Julie Pietri et Francois Feldmann
    Groupe L5 (interprétation de 8 titres).

    15.000 personnes

    Miss & Mister Plessis Robinson Fête des Guinguettes 2005

    Les L5


    Extrait du site : http://www.hauts-de-seine.net/portal/site/hds/histoire-departement/quartier-defense/blason-departement/684/0dcc6a9b8aa74010VgnVCM100000860aa8c0RCRD.vhtml
    Le Plessis-Robinson fête les guinguettes

    Les 18 et 19 juin 2005, mettez le cap pour le siècle des guinguettes : le temps d'un week-end, venez danser au son de la valse musette en tenue d'époque.
    Depuis 1990, la ville du Plessis-Robinson renoue avec la tradition de la fête des guinguettes : elle rassemble chaque année des milliers de personnes sous les châtaigniers de Robinson. Canotier, chemiser en dentelles et jupe longue sont de mise pour ce voyage dans le passé.
    Une ville qui porte bien son nom

    Cette fête des guinguettes remonte aux sources de l'histoire du Plessis, notamment son nom.
    Nous sommes en 1704. Un marin du nom de David Selkirk échoue sur une île du Pacifique Sud, en face des côtes chiliennes. Après quatre ans de vie sauvage, il sera recueilli par un navire et ramené en Europe.
    Son histoire va inspirer l'écrivain Daniel Defoe qui en fera le personnage de Robinson Crusoé. Ce personnage va devenir un mythe de la littérature occidentale du XIXe siècle et encourager l'écriture de milliers d'aventures exotiques : les « Robinsonnades ».

    L'une des épopées les plus fameuses est celle des Robinson suisses, une famille naufragée qui installe sa maison dans un arbre. Cent cinquante ans après Selkirk, en 1848, un restaurateur parisien du nom de Gueusquin a l'idée en se promenant sous les châtaigniers du Val d'Aulnay d'installer un restaurant dans ces arbres majestueux. Ce restaurant va créer le nom de « guinguette » et prendre le nom de « Guinguette de Robinson ».


    C'est le début d'un siècle de guinguettes qui vont attirer le tout-Paris, et même l'Europe entière. Des dizaines de guinguettes, restaurants, bals musettes vont fleurir sous les châtaigniers de Robinson qui connaîtront, à la Belle Époque, dans les années 1900, leur heure de gloire.

    À tel point qu'en 1909, la commune du Plessis-Piquet prendra le nom du Plessis-Robinson, comme la petite île du Pacifique sur laquelle a échoué Selkirk.
    Un programme festif aux couleurs de la tradition

    Animée par des musiciens interprétant le répertoire 1900 des bals « champêtres », la fête des guinguettes replonge dans les joies et plaisirs de l'époque.

    + Samedi 18 juin à partir de 20 h 30

    - Élection de Miss et de Mister Robinson
    - Concert : « 1970-2000, les années tubes » avec les Rubettes, François Feldman, Julie Pietri et les « L5 »

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